14 janvier 2011
Marine Le Pen et Bruno Gollnisch, le duel
Marine Le Pen et Bruno Gollnisch, le duel
Laurent de Boissieu
La Croix, 07 janvier 2011
13:45 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer | |
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 |
8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 |
15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 |
22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 |
29 | 30 | 31 |
« Zemmour 1 - LICRA 1 | Page d'accueil | Marine Le Pen, nouvelle présidente du Front National »
Marine Le Pen et Bruno Gollnisch, le duel
Laurent de Boissieu
La Croix, 07 janvier 2011
13:45 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | Imprimer | |
Commentaires
Comme la quasi intégralité des observateurs (sauf vous, qui conservez une salutaire distance), je pronostique la victoire, peut-être pas écrasante mais suffisamment significative de Marine Lepen à ce scrutin interne du FN. Et j'en conclue à un alignement, progressif et mesuré, mais bien réel, sur les mouvements dits "nationaux-populistes" européens (respectabilité, positionnement défensif "occidentiste" ou "européen" face à l'Islam, tolérance relative au différentialisme, etc.).
A noter que, de mon point de vue de nationaliste de gauche (voire très à gauche, "robespierriste" pour tout dire), cette tendance au nationalisme "peu français" était présente dans le FN des années 1980, celui qui se préparait à l'élection du "Reagan français". Seulement, d'économique, la normalisation du FN s'est transposée sur l'image et les valeurs, tandis qu'au contraire son discours économique se fait relativement critique du libéralisme et même du capitalisme (j'ai bien cru halluciner quand j'ai entendu Lepen père dire qu'il avait un "grand nombre de points d'accord avec feu Georges Marchais", lors du premier mai 2010). Un jeu trouble entre position antisystème désulfurisée et notabilisation qui pourrait engendrer aussi bien des succès nouveaux que de sacrées déconvenues... Comme quoi je ne me mouille pas !
Par contre, si c'est Bruno Gollnisch qui l'emporte, toute ma jolie analyse tombe à l'eau, c'est ballot !
Écrit par : Brath-z | 14 janvier 2011
Les commentaires sont fermés.