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09 juin 2007

résultats des élections législatives

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Quelques repères avant le scrutin de dimanche :

29 mai 2007

Les sarkozystes "de gauche"

Le centre en France 6/6

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La gauche "moderne et européenne"

 

Enfin, une autre famille de centre gauche est représentée par une myriade de clubs, souvent issus des réseaux rocardiens et deloristes, plus ou moins dans la mouvance du PS : À Gauche en Europe (Michel Rocard, Dominique Strauss-Kahn), Gauche moderne (Jean-Marie Bockel), Réunir (Bernard Kouchner), Témoin (Jacques Delors, François Hollande, Jean-Pierre Mignard, Jean-Pierre Jouyet)...

Une famille de centre gauche dont certains membres - Bernard Kouchner (ministre des affaires étrangères et européennes) et Jean-Pierre Jouyet (secrétaire d'État chargé des affaires européennes) - sont passés après le second tour au centre droit sans s'arrêter sur la case Bayrou. Déjà, avant le premier tour, s'était créé un club srakozyste "de gauche" : La Diagonale.

 

Parti Radical de Gauche

Le centre en France 5/6

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Parti Radical de Gauche (PRG)

 

Si les radicaux dits "valoisiens" siègent au centre droit, l'autre branche de la famille radicale se situe, elle, au centre gauche. En 1972, une partie des radicaux a en effet quitté le parti créé en 1901 pour signer le programme commun de la gauche, aux côtés du PS et du PCF. Le Parti Radical de Gauche (PRG) compte neuf députés sortants et a signé un accord électoral avec le PS pour les législatives. Son président, Jean-Michel Baylet, a récemment provoqué des remous au sein du parti en plaidant en faveur d'une "réunification" de la famille radicale afin de ne pas laisser à François Bayrou le monopole du centre. Mais il a très vite été contraint par le PS et par une partie de ses élus de réaffirmer son appartenance à l'opposition de gauche.

 

Parti Radical de Gauche (PRG)

Parti Radical

Le centre en France 4/6

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Parti Radical

 

L'UMP abrite en son sein une autre famille centriste : le Parti radical. Cette ancienne composante de l'UDF possède 16 députés sortants (dont une majorité participe également à la sensibilité "Démocrate & populaire"). Le Parti radical est actuellement représenté dans le gouvernement Fillon par Jean-Louis Borloo (coprésident du parti avec André Rossinot), ministre de l'économie, des finances et de l'emploi. C'est moins que dans le gouvernement Villepin, où il avait deux autres représentants (Renaud Dutreil et François Loos).

 

Parti Radical

Les "centristes" de l'UMP

Le centre en France 3/6

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Démocrate & populaire

 

Une troisième famille centriste est représentée par les "centristes de l'intérieur", c'est-à-dire ceux qui se revendiquent de cette étiquette au sein de l'UMP. Pour la plupart membres de l'UDF avant 2002, ils animent la sensibilité "Démocrate & populaire", à laquelle adhèrent 68 députés sortants mais sans grande homogénéité, puisque s'y côtoient radicaux (Dominique Paillé), gaullistes sociaux (Michel Bouvard, Alain Joyandet), démocrates-chrétiens (Yves Bur, Marc-Philippe Daubresse) et même quelques libéraux purs et durs (Louis Giscard d'Estaing, Hervé Mariton). Représentés dans le gouvernement Villepin de 2005 par Philippe Douste-Blazy (ministre des affaires étrangères), ce sont les grands oubliés du gouvernement Fillon. L'un des leurs, Pierre Méhaignerie, est toutefois secrétaire général de l'UMP.