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27 janvier 2011

Bilan du congrès de l'UDF

Comme je l'ai annoncé dans une précédente note, un congrès de l'UDF (= assemblée générale) s'est déroulé le 26 janvier.

 

En voici en exclusivité pour iPolitique.fr le bilan:

- réélection de François Bayrou (seul candidat) à la présidence de l'UDF

- adoption d'une résolution politique: renouvellement pour trois ans de l'adhésion de l'UDF au MoDem (prorogation de la période transitoire)

- renouvellement du bureau de l'UDF:

  • 22 membres renouvelés
  • 4 entrants (tous proches de François Bayrou et Marielle de Sarnez): Éric Azière, Marc Fesnault, Armand Hennon, Pierre-Emmanuel Portheret
  • 5 sortants: Philippe Arnaud, Didier Bariani, Thierry Cornillet (a rallié le Parti Radical-UMP), Catherine Morin-Desailly (a rallié le Nouveau Centre), Philippe Nogrix (a abandonné la vie politique)

 

Composition politique du bureau de l'UDF:

 

***

Erratum

Contrairement à ce qui m'avait été indiqué par deux sources différentes, l'Alliance Centriste de Jean Arthuis n'est pas devenue un mouvement associé de l'UDF.

En revanche, trois de ses membres (Jean Arthuis, Yves Detraigne, Françoise Férat) ont été élevés au grade de "membres associés", conformément à l'article 5 des statuts de l'UDF: "Le Bureau de l’UDF peut agréer des membres associés. Les membres associés participent à la vie de l'UDF dans des conditions fixées par l'agrément."

Confédération centriste: c'est encore loin Grand Schtroumpf?

Hervé Morin, président du Nouveau Centre, et Jean Arthuis, président de l'Alliance Centriste, vont lancer aujourd'hui une "Confédération centriste" (Jean Arthuis a même parlé samedi dernier d'"Union du centre").

Je verrai bien s'il s'agit véritablement du lancement concret d'une structure réelle (avec statuts) ou uniquement de la nième déclaration d'intention; petit rappel (pas forcément exhaustif!) des précédents:

- "Rassembler les centristes" (16 juillet 2008): Jean Arthuis

- "Carrefour des centres" (18 septembre 2008, le 6e s'est tenu le 5 janvier 2010): Hervé Morin

- "Appel au Rassemblement de tous les centristes": Hervé Morin et Jean Arthuis (25 mars 2010) avec "l'ambition de construire avant l'été un nouveau parti politique" (été ...2010!)

- "Centre en mouvement" (18 mais 2010): Gilles de Robien

- "Assises de la refondation du centre" (8 juin 2010): Jean Arthuis; avec le lancement d'une Fondation du centre (présidée par Jean-Louis Bourlanges)

- "Coordination politique" des centristes (15 novembre 2010): Jean-Louis Borloo

- "Confédération centriste" (27 janvier 2011): Hervé Morin et Jean Arthuis

 

En réalité, toute structure durable n'est pas viable dans l'état actuel des choses, puisque les uns et les autres ne sont tout simplement pas sur la même ligne politique, chacun voulant bien entendu que les autres se rallient à sa ligne! Récapitulatif:

Parti Radical
dirigeant: Jean-Louis Borloo
positionnement: dans la majorité de droite (centre-droit)
situation: mouvement associé de l'UMP (au moins jusqu'au congrès des 14-15 mai 2011)
présidentielle premier tour: présence d'un second candidat à droite (Jean-Louis Borloo) si conforme à la stratégie de Nicolas Sarkozy
présidentielle second tour: vote en faveur de Nicolas Sarkozy (peut-être dès le premier tour)
objectif: réunir dans un même parti tous les ex-UDF de la majorité; réunification avec le PRG (dans l'opposition de gauche: centre-gauche)

Nouveau Centre
dirigeant: Hervé Morin
positionnement: dans la majorité de droite (centre-droit)
situation: indépendant (via le Fetia Api pour le financement public)
présidentielle premier tour: présence d'un second candidat à droite (Hervé Morin)
présidentielle second tour: vote en faveur de Nicolas Sarkozy
objectif: réunir dans un même parti tous les ex-UDF de la majorité (centre-droit)

Alliance Centriste 
dirigeant: Jean Arthuis
positionnement: dans la majorité de droite (centre-droit)
situation: mouvement associé de l'UDF
présidentielle premier tour: présence d'un candidat du centre
présidentielle second tour: discussion avec la droite (Nicolas Sarkozy) et la gauche
objectif: réunir dans un même parti tous les ex-UDF de la majorité (centre-droit) comme de l'opposition (centre d'opposition)

MoDem 
dirigeant: François Bayrou
positionnement: dans l'opposition (centre d'opposition)
situation: indépendant
présidentielle premier tour: présence d'un candidat du centre
présidentielle second tour: discussion avec la droite (Nicolas Sarkozy) et la gauche
objectif: réunir dans un même parti le centre-droit (majorité), le centre (opposition) et le centre-gauche (opposition)

 

Pour résumer: le Nouveau Centre, qui participe à la majorité de droite, lance une confédération avec l'Alliance Centriste, mouvement associé de l'UDF, qui elle-même adhère au MoDem, ce dernier appartenant à l'opposition.

[ajout pour @yledu: "C'est pourtant simple, non?"]

26 janvier 2011

Un congrès de l'UDF!

Comme je l'ai révélé dans La Croix, un congrès - discret? secret? - de l'UDF se déroulera ce mercredi soir.

 

Rappel: le 30 novembre 2007, la dernière assemblée générale (congrès) de l'UDF a adopté la résolution suivante:

"L'UDF, formation politique au titre de l'article 4 de la Constitution, est membre fondateur du Mouvement Démocrate auquel elle adhère pour une période transitoire de trois ans, en tant que personne morale. À dater du 1er décembre 2007, tout adhérent de l'UDF est adhérent du Mouvement Démocrate. L'UDF délègue aux instances du Mouvement Démocrate la responsabilité de l'action et de l'expression communes. Les autres instances nationales et locales de l'UDF s'intègrent aux instances correspondantes du Mouvement Démocrate. Pendant cette période transitoire, les intérêts juridiques, matériels, moraux, les idées et les valeurs de l'UDF seront garantis et administrés par un bureau de vingt à trente membres désignés par le Congrès, sur proposition du Président dont le mandat est prorogé."

 

Cette période transitoire s'est donc achevée le 1er décembre 2010. C'est pourquoi François Bayrou a envoyé le 24 décembre dernier la lettre suivante aux adhérents à jour de cotisation (combien?):

Cher ami,

Vous êtes membre de l'association Union pour la démocratie française. L'assemblée générale de l'association aura lieu le mercredi 26 janvier 2011 à 19h30 au 133 bis, rue de l'Université - 75007 Paris.

Ordre du jour:
- quitus financier;
- suites à donner à la résolution adoptée par le Congrès du 30 novembre 2007 portant dispositions transitoires pour trois ans; modalités d'exercice de l'activité de l'Union pour la démocratie française dans les années à venir;
- élection du Président (1). Les candidatures et les parrainages seront reçus jusqu'au 10 janvier 2011 minuit, cachet de la poste faisant foi, à l'UDF - 133 bis, rue de l'Université - 75007 Paris;
- renouvellement du bureau.

Je compte sur votre présence effective à cette assemblée générale et vous assure de ma fidèle amitié.

François Bayrou

(1) L'article 11 des statuts dispose que "la liste des candidats est arrêtée ...au vu de 200 actes de parrainage d'adhérents à jour de cotisation issus d'au moins 10 fédérations différentes".

 

Quelles sont les hypothèses?

1) L'UDF ne renouvelle pas son adhésion au MoDem.

2) L'UDF se dissout, avec dévolution de son actif au MoDem (à l'image du RPR, qui s'est dissout en 2002 en transférant son actif à l'UMP).

3) L'UDF renouvelle son adhésion au MoDem.

 

Si la première hypothèse est improbable, la troisième est la plus probable:

1) Le maintien de l'UDF en tant que personne morale permet à François Bayrou de garder l'usage de la marque UDF (même si le Nouveau Centre l'utilise parallèlement - ce qui me semble juridiquement douteux - en se proclamant "l'UDF d'aujourd'hui").

2) Le maintien de l'UDF permet à François Bayrou de conserver ses contacts avec le centre droit en général et Jean Arthuis en particulier. Parti politique au sens de la CNCCFP depuis le 30 novembre 2009, l'Alliance Centriste est en effet un "mouvement associé" de l'UDF (article 18 des statuts). Concrètement, cela permet aux membres de l'Alliance Centriste de rester également membres de l'UDF, alors que les statuts de cette dernière stipulent que "l'appartenance à l'UDF est exclusive de toute adhésion à une autre formation politique" (article 4). Les parlementaires de l'Alliance Centriste se rattachent par ailleurs annuellement au MoDem pour la seconde fraction du financement public, le parti de François Bayrou reversant à celui de Jean Arthuis une quote-part (124.988 euros en 2009).

 

Finalement, voici ce qui devrait être adopté ce soir:

- prorogation de la période transitoire jusqu'au lendemain de l'élection présidentielle de 2012.

- réélection de François Bayrou (seul candidat) à la présidence de l'UDF.

- éventuellement mise à disposition de l'Alliance Centriste d'une partie des locaux de l'UDF, propriétaire de son siège ...qui est également celui du MoDem. Une "convention d'occupation des locaux", "renouvelable par tacite reconduction", organise en effet la "prise en charge par le MoDem de l'ensemble des dépenses d'entretien et d'amélioration des locaux et des matériels, des coûts d'acquisition des lots immobiliers acquis par l'UDF en 2009 et des coûts de rénovation éventuels des locaux, en contrepartie de l'occupation gratuite desdits locaux".

 

[note rédigée le 24 janvier chez moi pour ce blog, finalement transformée le lendemain en papier pour La Croix]

21 janvier 2011

FN nouveau: info ou intox?

Le blogueur corto74 (découvert via L'Hérétique) a lancé mi-janvier une chaîne en posant à des blogueurs la question suivante: "Au nom de quoi, l'UMP doit-il rejeter toute alliance avec le FN?"

Poser cette question, c'est à mon avis commettre une erreur chronologique.

Le FN de Jean-Marie Le Pen (qui a siégé aux débuts de la Ve République dans le même groupe parlementaire que Valéry Giscard d'Estaing) se réclamait d'une "droite nationale" et, dans les années quatre-vingt, développait sur le plan économique et social un discours libéral, antifiscaliste et antiétatiste. Entre le FN d'un côté, et la droite de gouvernement de l'autre, la différence - notamment sur les questions d'immigration et de sécurité - était bien plus une différence de degré que de nature. À une exception fondamentale près: les "dérapages" et les condamnation de Jean-Marie Le Pen, à l'origine du "cordon sanitaire" faisant obstacle à tout accord national entre la droite et l'extrême droite, malgré à l'époque les appels de pied du FN.

Le FN de Marine Le Pen est bien différent. Pour résumer, il ne fait plus du Philippe de Villiers puissance dix mais du Jean-Pierre Chevènement puissance dix, renvoyant dos-à-dos la droite (UMP) et la gauche (PS), c'est-à-dire l''UMPS" (davantage intello, Chevènement parlait en 2002 de "Janus bifrons libéral-social et social-libéral" ou encore de "système du pareil au même"). Dorénavant, la différence n'est donc plus une différence de degré mais - en particulier sur les questions économiques et sociales - une différence de nature avec l'ensemble des partis ralliés au "consensus de Bruxelles" (libéral, européiste et atlantiste). Hier, Jean-Pierre Chevènement voulait remplacer le faux clivage droite-gauche par un vrai clivage entre "républicains" et "libéraux"; aujourd'hui, Marine Le Pen veut remplacer le faux clivage droite-gauche par un vrai clivage entre "nationaux" et "mondialistes", ses accents nationalistes-révolutionnaires l'ayant éloignée et non pas rapprochée de la droite libérale.
Conséquence logique: contrairement à Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen n'envisage pas d'alliance avec l'UMP (qui, à l'inverse du RPR et de l'UDF autrefois, n'a donc pas besoin de se demander s'il doit rejeter ou non toute alliance avec le FN).

 

Reste à savoir si le nouveau positionnement national-républicain du FN est ou non sincère (Laurent Pinsolle soulève également la question). Je vous propose trois tests:

1) Le social-étatisme développé par Marine Le Pen dans son premier discours de présidente du FN (qu'un Jean-Pierre Chevènement ou qu'un Jean-Luc Mélenchon n'auraient pas renié) est-il sincère? Je suspecte que non. Nouveau vice-président en charge du projet (et compagnon de Marine Le Pen), Louis Aliot a créé en mai 2010 Idées Nation, "club de réflexions, d'analyses et de propositions au service du projet et de l'action politique de Marine Le Pen". Or, parmi ses rares productions figure une critique de la "convention égalité réelle" du PS, critique sans ambigüité libérale et non sociale ("toujours plus d'État!", "dirigisme", "contre les locataires non pauvres", "toujours plus de dépenses!", "toujours plus d'impôts!", "la chasse aux riches"), par conséquent en contradiction avec la nouvelle orientation affichée par Marine Le Pen. Il conviendra donc d'analyser à la loupe sa future "révolution fiscale", car la fiscalité est le nerf de la guerre de toute politique sociale.

2) La définition par le FN de l'appartenance à la communauté nationale va-t-elle se républicaniser? Question clef puisque, comme je l'ai déjà écrit, c'est dans cette définition que se niche le racisme d'extrême droite (depuis Charles Maurras dénonçant l'"anti-France": "Juifs, Protestants, Maçons, Métèques"). D'un côté, dès 2007 Marine Le Pen présentait la candidature de son père comme celle "débarrassée des spécificités religieuses, ethniques ou même politiques" (Le Figaro, 12/12/2006), réaffirmant encore aujourd'hui qu'elle ne possède pas "une vision ethnique de la nation" (Causeur, janvier 2011). De l'autre, elle assume l'expression discriminatoire "Français de souche", aux antipodes du principe républicain d'égalité entre tous les citoyens car opérant une distinction entre eux en fonction de leur origine (pour les démographes de l'Ined, le Français de souche est celui qui n'a pas au moins un de ses grands-parents immigré).

3) La laïcité: le FN doit encore prouver qu'il défend véritablement la laïcité républicaine et qu'il ne s'agit pas seulement d'un cache-sexe de l'islamophobie (la xénophobie dérivant alors de la couleur de peau - les noirs et les arabes - vers la religion).

 

En réalité, tout dépendra selon moi de la tonalité de la campagne présidentielle:

1) Si la thématique sécuritaire l'emporte: retour au FN version Jean-Marie Le Pen, c'est-à-dire à la droite de la droite, le principal concurrent de Marine Le Pen étant Nicolas Sarkozy pour séduire l'électorat sensible à cette thématique.

2) Si la thématique sociale l'emporte: éclosion du FN version Marine Le Pen, c'est-à-dire d'alternative à la droite et à la gauche, les principaux concurrents de Marine Le Pen étant les partisans comme elle d'une "autre Europe" ou d'une "autre politique" (les deux allant de paire), de Jean-Luc Mélenchon à Nicolas Dupont-Aignan en passant par Jean-Pierre Chevènement.
Dans cette hypothèse, la principale erreur du microcosme politico-médiatique parisien serait de maintenir le "cordon sanitaire" autour du FN non plus sur le fondement de ce qui fait la spécificité de l'extrême droite (dérapages, définition xénophobe voire raciste de l'appartenance à la communauté nationale) mais sur le fondement de la non-appartenance au "cercle de la raison" défini il y a déjà longtemps par Alain Minc. Bref, de jeter dans les bras de l'extrême droite (cf. l'évolution du blogueur Malakine) les 55% de Français qui ont voté en 2005 contre le traité constitutionnel européen. À moins qu'entre-temps l'Europe libérale et la "mondialisation heureuse" (encore Minc!) prouvent subitement leur efficience économique et sociale ainsi que leur compatibilité avec l'identité constitutionnelle de la France, à savoir la République indivisible, laïque, démocratique et sociale.

 

Enfin, il convient de souligner deux choses:

1) Marine Le Pen ne cesse de répéter qu'elle reprend tout l'héritage du FN (donc également ses composantes historiques et les dérapages de son prédécesseur).

2) La préférence nationale réserve en quelque sorte le nouveau "social-étatisme" du FN aux seuls Français, en excluant tous les étrangers (même en situation légale).

 

[Ajout: on vient de me signaler sur le blog de Jean-Luc Mélenchon un billet qui complète parfaitement mon analyse]

19 janvier 2011

Les clubs et think tanks dans la mouvance de l'UMP

Les organisations ayant participé mardi 18 janvier au premier "conseil des clubs et think tanks" de l'UMP:

 

Cercle Nation et République
dirigeant: Jacques Myard
orientation: gaullisme, souverainisme

 

Cercle Turgot
dirigeants: Jean-Louis Chambon, Jacques-Henri David, Nicolas Bouzou, Patrick Combes, Philippe Dessertine 
orientation: libéralisme 

 

Démocrates & Populaires
dirigeants: Marc-Philippe Daubresse, Pierre Méhaignerie, Fabienne Keller, Christian Kert 
orientation: démocratie chrétienne, radicalisme, gaullisme social

 

Dialogue & Initiative
dirigeants: Jean-Pierre Raffarin, Marc Laffineur, Pierre Lequiller 
orientation: libéralisme

 

Fondation Concorde
dirigeant: Michel Rousseau 
orientation: libéralisme

 

Fondation Pour l’Innovation Politique (Fondapol)
dirigeants: Dominique Reynié, Nicolas Bazire, Charles Beigbeder, Jérôme Monod  
orientation: libéralisme

 

Fondation Robert Schuman
dirigeant: Jean Dominique Giuliani 
orientation: démocratie chrétienne 

 

France.9
dirigeant: François Fillon 
orientation: néogaullisme

 

France République
dirigeant: Laurent Hénart 
orientation: radicalisme

 

Génération France.fr
dirigeants: Jean-François Copé, Christian Jacob 
orientation: copéisme

 

Fondation iFRAP
dirigeants: Bernard Zimmern, Agnès Verdier-Molinié 
orientation: ultralibéralisme 

 

Institut Économique Molinari
dirigeante: Cécile Philippe

 

Institut pour la Justice
dirigeants: Catherine Nemo, Xavier Bébin

 

Institut Turgot
dirigeant: Henri Lepage 
orientation: ultralibéralisme

 

La Droite Populaire
dirigeants: Thierry Mariani, Lionnel Luca, Philippe Meunier  

 

La Droite Sociale
dirigeant: Laurent Wauquiez  
orientation: démocratie chrétienne, radicalisme, gaullisme social

 

Le Chêne
dirigeante: Michèle Alliot-Marie
orientation: néogaullisme

 

La Droite Rurale
dirigeant: Pierre Morel A l'Huissier 

 

Club 89
dirigeant: Benoist Apparu 
orientation: néogaullisme

 

Le Labo des idées
dirigeante: Valérie Pécresse 

 

Club Nouveau Siècle
dirigeants: Philippe Dechartre, Bernard Reygrobellet  
orientation: gaullisme social

 

Les Progressistes
dirigeant: Éric Besson 
orientation: social-libéralisme

 

Les Réformateurs
dirigeants: Hervé Novelli, Gérard Longuet, Yanick Paternotte  
orientation: ultralibéralisme

 

Nouvelle République
dirigeant: Michel Barnier 

 

Nouvelle Société Civile
dirigeant: Yves Jégo 
orientation: sarkozysme

 

Réforme & Modernité
dirigeant: Hervé Mariton 
orientation: libéralisme 

 

Les IDees.fr
dirigeant: Louis Giscard d'Estaing
orientation: libéralisme 

 

Club des Droits de l'Homme
dirigeante: Nicole Guedj  

 

Union des Jeunes pour le Progrès (UJP)
dirigeant:  Rudolph Granier 
orientation: gaullisme

 

Centre d'Études et de Recherches de l'UNI (CERU)
dirigeant: Olivier Vial

 

Konrad Adenauer Stiftung
dirigeant: CDU (Allemagne)
orientation: démocratie chrétienne

 

Fundación para el Análisis y los Estudios Sociales (FAES)
dirigeant: Partido Popular (Espagne) 
orientation: conservatisme

 

Cercle d'Outre-Manche
dirigeants: dirigeants français de groupes internationaux opérant au Royaume-Uni et en France

 

 

Autres (ne figurent pas dans la liste transmise mardi par l'UMP):

Droite Industrielle et Ouvrière
dirigeant: Bernard Carayon 

 

Cercle des Gaullistes Sociaux et Républicains
dirigeant: Roger Karoutchi
orientation: gaullisme